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  • Colloques et journées d’études

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  •  Octobre 2000, Institut Culturel italien et INHA : Journées d’études sur « la Naissance de l’opéra Â » :

    • L’héritage antique ( Philippe BRUNET (Univ. Rouen) ; Orphée métricien ; Annie BELIS (EPHE, Paris) : Musiciens légendaires, thraces, phrygiens et grecs ; Donatella RESTANI (Facoltàdi Conservazione dei beni culturali, Bologna) : Girolamo Mei e l’ereditàdella cultura musicale greca nel tardo Cinquecento.
    • Orphée, de la littérature àla musique [Françoise GRAZIANI (univ. Paris 8) : La mort d’Eurydice : favola et tragedia selon Rinuccini ; Maria Grazia ACCORSI (Univ. de Cosenza) : Suavitas e gravitas nell’Euridice di Ottavio Rinuccini ; Franco VAZZOLER (univ. de Gênes) : Chiabrera da Cefalo ad Orfeo ; Jean François LATTARICO (univ. Saint-Etienne) : Mythe et parodie dans La morte di Orfeo de Stefano Landi.
    • Recitar cantando [Paolo FABBRI (Univ. de Ferrara) : “Parlare e recitare in musica†; Giulia RABONI (Univ. de Milan) : Sur demande des musiciens : langue et mètre dans les premières Å“uvres poétiques de Chiabrera ; Joë l HEUILLON (Univ. Paris 8) : La temporalité pathétique et sa traduction musicale ; Laura PISTOLESI (Conservatorio "Vincenzo Bellini", Palermo), Le due Euridice : dalle Prefazioni alle partiture per un’analisi comparativa]
    • Orphée dans le dialogue des arts [ Stéphane ROLET (Univ. Paris 8) : De la musique àla peinture : le discours allégorique dans la galerie Farnèse ; Claudia CIERI VIA (Univ. de Rome) : Orphée, Ovide et les pathosformeln all’antica ; Françoise DECROISETTE (Univ. Paris 8) : Lo “stupore†et la “meraviglia†, étude de réception]

     

    Novembre 2001 : lors du « Congrès international sur Poésie et musique entre traditions comparées Â » (Carthage-Sousse). Outre les communications (Christian Cheyrezy, Françoise Decroisette, Joë l Heuillon) autour de l’Euridice de Jacopo Peri et Ottavio Rinuccini, nous avons présenté le fruit de notre ACIJ « Euridice 1600-2000 Â » : un spectacle d’opéra expérimental, « EURIDICE Â » de Jacopo Peri et Ottavio Rinuccini (1600).

     

    23 et 24 mai 2003 : Journées d’études (2) « Mettre en scène les opéras du passé Â », àla Maison des Sciences de l’Homme (MSH) de Paris-Nord
    Problèmes musicologiques et problèmes théâtrologiques. Confrontation de divers points de vue àl’œuvre dans les approches scéniques contemporaines des œuvres musico-théâtrales du premier.
    Participants : Françoise Decroisette, Françoise Graziani, Joë l Heuillon (Université de Paris 8), Sara Mamone et Anna Maria Testaverde (Université de Florence), Paolo Fabbri (Université de Ferrare), Gaspare et Roberto de Caro (revue Hortus musicus, éd. Ut Orpheus, Bologne), Alex de Valera (conservatoire de Pantin), Catherine Simonpietri (dir. Ensemble Sequenza 9.3, conservatoire d’Aubervilliers), Christian Gangneron (metteur en scène).

     

    Octobre 2003, Université de Paris 8 et àla MSH de Paris-Nord : Journées d’étude sur « Les modalités Â » (musique ancienne, jazz, musique du Magrheb).
    Partenaires : Équipe d’Accueil du département de Musique de l’Université de Paris 8 ; Département de Musique de l’Université de Paris 8 (sections Jazz et ethnomusicologie) ; MSH de Paris-Nord : Thème 5 : “Création, pratiques, public†(Groupe de recherche : Euridice 1600-2000. L’opéra “baroque†entre archéologie, interprétation et représentation) et Thème 4 : “Esthétiques, arts et industries†(Jean-Paul Olive) ; Institut de Musique et de Musicologie de Sousse (Tunisie) ; Maison de la Tunisie.
    La “modalité†, que l’on pourrait définir sommairement comme la coexistence d’une pluralité d’échelles (8 puis 12 dans notre tradition avant l’irruption de la “tonalité†à2 modes), liées àdes types d’expression particuliers (passions, “l’ethos†des modes...), et associées àdes tournures mélismatiques spécifiques, a constitué le cadre de déploiement du langage musical “savant†occidental, de manière dominante, du moyen-âge jusqu’au 17e siècle. On en trouve des traces jusqu’au 19e siècle. Elle “réapparaît†dans la musique savante, àla fin du 19e siècle et au début du XXe, siècle comme un des moyens de “répondre†àla crise de la “tonalité†(Bartok, Debussy...), avant que le jazz àson tour ne se l’approprie... La “modalité†est en revanche demeurée fondamentale dans les musiques orientales (du Maroc àl’Iraq), savantes et populaires, de tradition orale ; elle présente bien sà»r des aspects très différents de la “nôtre†, mais l’on y retrouve : la pluralité des échelles, le lien avec l’expression des “passions†, des configurations mélodiques spécifiques (tout cela se déclinant de plus, avec des variations “régionales†très marquées).
    Avec : Olivier Trachier ; Alex de Valera ; Habib Yammine ; Frédéric Saffar ; M. Gonnard ; M. A. Dagois ; H. Dechico ; Denis Morrier ; Fabien Delouvé ; Mohamed Zinelabidine, ISM de Sousse ; Mourad Sialah ; ISM de Sfax-, et 10 étudiants de L’Institut Supérieur de Musique de Sousse.

     

    Juin 2004, MSH de Paris Nord : Journée d’étude, "L’esthétique des passions". Autour des travaux menés dans les séminaires et lors de nos expérimentations musicales proprement dites (Concerts, mais également séances de travail avec des musiciens lors de tous nos séminaires).

     

     Mai 2007, Université de Paris8 : Journée d’études « Dans le laboratoire des compositeurs Â », cette journée a permis de prendre connaissance des compositions commandées en 2004, de faire le point sur les problèmes posés par ce type d’écriture et de vocalité, de réfléchir sur l’interaction compositeur-interprète. Avec la participation de Vincent Rouillon et Jean-Paul Olive (compositeurs), et de Veronica Onetto (soprano), Sébastien Lagrave (ténors) et Henry Runey (basse)

     

    Mai 2007, INHA : « Savoirs anciens1 Â »
    Responsables scientifiques : Joë l Heuillon [Université de Paris8] et Françoise Graziani [Université de Corté]
    Avec : Joë l Heuillon (« musique et expérience, articuler le savoir et le sensible Â »), [Université de Paris8], Françoise Graziani (« La science des muses Â »), Brenno Boccadoro (« Des pouvoirs de la musique Â ») [Université de Genève], Jackie Pigeaud (« De la musique iatrique Â ») Université de Nantes, Giovanni Lombardo (« Le sublime et la rhétorique de la dissimilation Â ») [Université de Messine], Ruth Webb (« Le savoir du danseur et du comédien dans l’antiquité tardive Â ») [University of London], Isabelle Pantin (« Poésie et astronomie àla renaissance Â ») [Université de Paris X]
    Dans la perspective de nourrir la reconstitution de la doxa du premier baroque italien, nous élargissons les champs disciplinaires convoqués. Nous abordons donc des savoirs qui, parfois, « périmés Â » aujourd’hui, sous-tendaient alors l’épistémé en cours et constituaient potentiellement, autant de “modèles†pour les créateurs.

     

    Année universitaire 2009/2010 (tout au long du séminaire “Musique et poésie†), Université de Paris8 : « Le concert des savoirs Â » (« Savoirs anciens2 Â »)
    Responsables scientifiques : Joë l Heuillon et Françoise Graziani [Université de Paris8],
    Avec : Patricia Falguières (« L’Aristote des premiers baroques Â »,) [EHESS], Georges Farhat (« Optique et perspective dans les jardins français du XVIIe s. Â »), [Ecole d’Architecture de Versailles], Brenno Boccadoro (« Musique et mélancolie Â ») [Université de Genève], Lina Bolzoni (« Les chambres de Mémoire Â ») [Université de Pise], Françoise Graziani, (« La science des Muses Â »), Didier Kahn, (Alchimie et musique Â ») [CNRS], Joë l Heuillon, (« L’Orfeo de Monteverdi Â », atelier d’interprétation), Fabien Delouvé, (« L’ethos des modes musicaux Â ») (Doctorant, Université de Paris 8)
    La musique était considérée par les anciens grecs et latins comme le paradigme d’une configuration harmonieuse des savoirs qui mimait l’ordre du monde. Cette représentation symbolique, d’abord exploitée par les philosophes et les théoriciens de la musique, a été mise au service de la pratique musicale elle-même àpartir de la Renaissance, et de manière plus spectaculaire encore àl’âge baroque, au moment de la naissance de l’opéra. Le séminaire (au cours des Journées d’études) se propose de mettre en perspective quelques uns des nombreux savoirs qui convergent dans les expériences musicales du premier XVIIe siècle en invitant des conférenciers spécialistes de disciplines diverses (cosmologie, alchimie, médecine, architecture, philosophie, musicologie, mythographie) et des interprètes qui expérimenteront devant les étudiants une pratique musicale attentive àen restituer au mieux l’énergie.

     

    Novembre 2011, Université de Paris8 : « ORNATUS Â » (« Savoirs anciens3 Â »)
    Responsables scientifiques : Joë l Heuillon [Université de Paris8] et Françoise Graziani [Université de Corté]
    Avec : Françoise Graziani (« Fondements antiques de la notion d’ornatus Â »), Frédéric Saffar et Philippe Michel (« Jazz et ornementation Â ») [Université de Paris8], Habib Yammine (« La tradition orientale Â ») [Université de Paris8], Joë l Heuillon (« Sémantisation de l’ornementationdans la musique du premier baroque Â »), atelier de démonstration (Veronica Onetto, soprano et Alex de Valera, luth). Concert : Â« Bel canto Â », Å“uvres de Haendel, Rossini, Bellini. Ces trois demi journées d’études sont destinées àpréparer un colloque plus important sur la question, en 2014/15. Il s’agira de délimiter un territoire, d’établir un questionnement.

     

    Avril 2012, Université de Paris8 : Â« Madrigaux anciens et modernes Â »
    Responsables scientifiques : Joë l Heuillon [Université de Paris8],
    Autour du concert « Madrigaux anciens et modernes Â », nous proposons une journée d’études d’accompagnement. Le madrigal a constitué pour Monteverdi un “laboratoire†de composition. Il était le lieu des expérimentations et le “Livre VIII des madrigaux†constitue en filigrane un véritable traité de composition. Qu’en est-il du genre aujourd’hui où nombre de compositeurs se réclament du genre ? Quelles démarches d’écriture musicale et vocale ?

     

    2011 et 2012 :Journées d’études : « Les chemins de la voix  », avec Giordano Ferrari et Joë l Heuillon.

     

    Avril 2013, Université de Paris8 : Colloque : « La voix dans l’aria d’opéra Â »
    Responsables scientifiques : Giordano Ferrari et Joë l Heuillon [Université de Paris8]
    L’air est un moment de l’opéra qui porte en soi l’idée d’expression d’une pensée, un sentiment, dans une structure rhétorique qui se déroule hors du temps réel. Une parenthèse, une dilatation du temps chargée de sens. Pendant un air d’opéra le personnage ne peut pas effectuer de véritable action, la dramaturgie se fige au service d’une expression construite sur l’intimité entre les mots et la musique. L’Aria est devenue une idée culturelle qui persiste au-delàdes formes, des codes stylistiques et des conventions expressives spécifique àchaque époque. Prendre en analyse des airs significatifs du premier baroque jusqu’aux avant-gardes du XXe siècle, signifie avoir l’occasion de toucher àl’essence de l’écriture pour la voix de chaque période, et de pouvoir esquisser un parcours de son évolution dans l’histoire moderne de l’humanité. Chaque intervention sera consacrée sur un seul air extrait du répertoire d’opéra et doit mener une analyse qui retrace : son organisation intime ; le langage musical spécifique utilisé ; une réflexion sur la singularité de son écriture vocale.
    Avec Théodora Psychoyou (Paris IV), aria de Marc Antoine Charpentier ; Martin Laliberté (Marne La vallée), Aria avec électronique : l’Air du Vers’ tirée du Re Orso de Stroppa ; Alvaro Oviedo (Paris8), Lachenmann ; Jean-Paul Olive (Paris8), àpropos de Lulu, Berg ; Hervé Lacombe (Bordeaux), air de Carmen, Bizet, avec Alice Fagard, mezzo soprano et Ayaka Niwano, piano) ; Olga Moll (Paris8), Salomé de R. Strauss ; Giordano Ferrari (Paris8), Aria de Maderna ; Federico Fornoni (Bologna), Aria de Donizetti ; Rémi Stricker, aria de Mozart ; Joë l Heuillon (Paris8), Récit de la messagère de l’Euridice de Jacopo Peri (avec Veronica Onetto, soprano ; Alex de Valera, archiluth et Stanley Smith, viole)

     

    21-22 Novembre 2013, Université de Corté : « Le madrigal méditerranéen, entre tradition populaire et musique savante Â »
    Responsables scientifiques : Françoise Graziani (Université de Corté) et Joë l Heuillon [Université de Paris8],
    Le madrigal, une des formes les plus anciennes d’alliance de musique et de poésie, n’a cessé de maintenir vivants les liens entre traditions populaires et savantes. D’origine méditerranéenne et pastorale, il s’est particulièrement développé dans la musique baroque mais intéresse encore les compositeurs d’aujourd’hui, tandis qu’il en subsiste une forme archaïque et méconnue dans la tradition polyphonique corse. Cette rencontre interdisciplinaire réunira interprètes, ethnomusicologues et spécialistes de musique baroque et contemporaine pour analyser la complexité de cette tradition poétique et musicale en interrogeant ses origines et sa diffusion àtravers le temps et l’espace, ainsi que ses modes de transmission et ses possibilités de variation et d’actualisation. Deux concerts complémentaires y feront entendre la richesse et la diversité de la tradition madrigalesque passée et présente, le premier autour du madrigal monodique italien, l’autre du madrigal polyphonique corse. Ces rencontres ont aussi pour objet de préparer une série d’ateliers-concerts consacrés àl’interprétation des traditions vocales méditerranéennes et programmés pour 2014.
    Avec : F. Graziani (Université de Corse) : Les origines poétiques du madrigal ; Domenico Staiti (Université de Bologne) : les sources orales du recitar cantando ; Brenno Boccadoro (Université de Genève) : l’aria per cantar versi et l’ottava rima, un dialoque entre musiques savante et populaire ; Joë l Heuillon (Université Paris 8) : Le madrigal, laboratoire des évolutions musicales entre maniérisme et baroque ; Gianfranco Vinay (Université Paris 8) : Les madrigaux de Salvatore Sciarrino ; Jean-Paul Olive (Université Paris 8) : Composer aujourd’hui avec les traditions méditerranéennes.

     

    Juin 2014 : Journée d’études « Barbara Strozzi  ».

     

     Février 2015 : « Nouveaux espaces et nouvelles temporalités dans la composition en méditerranée  ». (Direction scientifique : Jean Paul Olive et Anis Fariji). Fondation Onassis (Athènes).

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